Entreprises et Alumni
Je m’appelle Chloé Massamba, j’ai 21 ans, et je suis en troisième année de Bachelor à l’ISC Paris campus Orléans.
L’épistolaire est un ouvrage qui vise à raconter l’histoire d’un artiste (ou d’un concept lié au rap) à travers le regard de Lorraine Biava, qui interprète sa musique et son univers, ainsi qu’à travers celui de ses proches ou de personnes ayant un impact sur sa carrière.
À la base, l’idée n’était pas réfléchie. C’est après avoir publié un article sur Green Montana en février dernier que Lorraine a eu l’idée de donner une autre dimension à son travail en le rendant palpable. C’est ainsi que le concept est né.
Pour matérialiser ce projet et illustrer ses mots, il fallait une personne en charge de toute la direction artistique du projet (conception du logo, mise en page …). Lorraine, habituée à travailler seule la plupart du temps, ressentait le désir de collaborer avec quelqu’un pour ce projet. Selon elle, il était évident que si elle devait travailler avec quelqu’un, ce serait moi et personne d’autre.
C’est ainsi que l’aventure de L’épistolaire a commencé !
Lorraine a développé une connexion particulière avec la musique de Green Montana, ce qui l’a poussée à écrire plusieurs notes puis un article, qui a finalement conduit à la création de L’épistolaire. Mais pourquoi Green Montana en particulier ? C’est un artiste inspirant, mystérieux et authentique que Lorraine avait envie de décrypter.
En ce qui concerne la prise de contact avec les proches de Green Montana, cela s’est avéré assez simple. En effet, Lorraine connaissait déjà beaucoup de personnes qui témoignent dans le livre, telles que Mehdi Maizi, Stéphanie Macaigne ou encore Stanley Zotres (le manager de Green). Quant aux autres proches de Green, ils ont directement répondu présents et nous ont fait confiance pour raconter leur histoire.
En ce qui concerne la suite de l’épistolaire, j’ai trouvé cette expérience extrêmement enrichissante. Jongler entre l’alternance, l’école, la vie pro et perso a été un challenge.
De plus, travailler sur la DA d’un projet comme celui-là était une première pour moi et maintenant, j’aimerais aller plus loin en explorant des aspects plus techniques et d’autres univers graphiques.
Les nombreux retours positifs que nous avons reçus nous motivent énormément à poursuivre et nous avons déjà quelques idées pour les prochains magazines 😉